Chargement 00
Il y a 60 vaches par ferme en moyenne. 93% de l’alimentation des vaches provient de leur ferme. 4% d’éleveurs bio en mai 2017, 6% d’ici à 2018. 21% des élevages sont en AOP. 100% de l'alimentation des vaches est tracée. 98% de l’alimentation des vaches est produite en France. 1 vache en bonne santé produit du lait de qualité. La France est le 7ème producteur mondial de lait. Une traite dure 6 à 9 minutes par vache. 95% des éleveurs laitiers français adhérent à la charte des bonnes pratiques. 99% de l’alimentation des vaches est végétale, 1% minérale. Une vache consomme chaque jour entre 50 et 80 kg de fourrage. Une vache produit en moyenne 24 litres de lait par jour. 25% de réduction des gaz à effet de serre entre 1990 et 2010. L’histoire de l’élevage remonte à 10 000 ans. Une gamme unique de 1500 produits laitiers. Casque ou écouteurs conseillés pour profiter pleinement de l'expérience.
Gestion des cookies
06

L’élevage laitier et l’environnement

  • Copier le lien Lien copié !
  • Partager
  • Partager
Défiler vers le bas
100%

des lisiers et fumiers sont utilisés en engrais naturels de qui limite l’utilisation des engrais chimiques.

25%

de réduction de gaz à effet de serre entre 1990 et 2010, objectif -20% en 2025.

250

espèces de faunes et flores différentes par m² de prairie d’une ferme laitière

Elevage et sol

_

Le patrimoine rural français doit sa richesse à ses paysages agricoles qui représentent 54 % du territoire.
Fruit d’un équilibre vivant et fragile, les paysages sont le résultat du travail combiné de la nature et de l’homme au travers de ses activités agricoles et d’élevage.

En changeant régulièrement les troupeaux de prairie et
en fauchant les foins, l’éleveur préserve la repousse de l’herbe. Les troupeaux, en pâturant, permettent à certaines variétés de plantes de se développer  tandis que leurs bouses ou l’épandage des fumiers favorisent la vie du sol. L’éleveur par son travail quotidien est le garant de l’équilibre écologique de cet écosystème.

La polyculture élevage est une spécificité française.

La présence de prairies et de haies, en alternance avec des parcelles cultivées permet, de préserver le sol, la diversité́ et la qualité́ des eaux. Toutes ces zones semi-naturelles que l’éleveur entretien avec son troupeau constituent  des refuges et des sources de nourriture pour de nombreux oiseaux et mammifères.
Ces espaces naturels entretenus permettent aux espèces animales et végétales de se nourrir, et de se reproduire. Dans les prairies des fermes laitières, il est recensé entre 30 et 40 variétés de vers de terre par m2, 40 à 70 espèces d’oiseaux différents, 6 à 12 espèces de bourdons et 113 à 195 espèces de flore différentes en fonction des régions.

 

L’intérêt des rotations permet l’amélioration de la qualité des sols avec une moindre utilisation d’engrais.

_

Depuis 1950 les élevages laitiers français ont fortement améliorés leur bilan carbone en diminuant de 25% les GES liés à l’élevage laitier. Ils n’entendant pas s’arrêter là et le confirment  à  la conférence sur le Climat de paris 2016.

 

L’atout des prairies : un effet capteur

Avec près de 96 ha de prairies sur les exploitations laitières les élevages sont un atout pour lutter contre le réchauffement climatique. En effet, un hectare de prairie capte naturellement 570 Kg de carbone / année

 

 

 

La ferme laitière bas carbone est une initiative issue de la COP21 qui vise à promouvoir des pratiques agricoles et des leviers d’action pour réduire les émissions de gaz à effet de serre des élevages laitiers français de 20% par litre de lait produit à l’horizon 2025.
Plus de 4500 éleveurs laitiers sont déjà̀ impliqués dans cette démarche basée sur un diagnostic qui permet à chaque éleveur de calculer ses émissions de GES, d’en comprendre la raison et d’identifier des leviers d’amélioration. Cela peut concerner l’alimentation des animaux, l’énergie, la gestion du troupeau, la valorisation des déjections animales en engrais de ferme, le rôle de l’herbe dans les exploitations…